Ecologie et Citoyenneté

Mon plus grand rêve pour la commune

Je rêve de vivre dans une commune moderne, qui favorise le bien-être de la population et incite à des actions plus durables, plus écologiques en promouvant la biodiversité, le bâti et la santé. Les communautés y vivraient en toute quiétude sans peur d’être opprimées ou stigmatisées. Un changement de paradigme communal irait de pair avec une vision ouverte sur la diversité de la population et l’urgence climatique. Les idées parviendraient de conseil d’enfants, d’adolescent·es, d’aîné·es ou de quartier. Ces idées permettraient d’accroître une dynamique d’échanges dont les mots-clés seraient: collaboration, participation et inclusion. Il y aurait assurément moins de voitures et davantage de mobilité douce dans la commune.

Ce que j’apprécie dans le groupe Écologie & Citoyenneté

J’apprécie la dynamique, la collaboration et la diversité des opinions du groupe. Les échanges y sont d’une grande richesse. J’aime la fable amérindienne du colibri, raconté par Pierre Rabhi: Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit: «Colibri! Tu n’es pas fou? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu!» Et le colibri lui répondit: «Je le sais, mais je fais ma part.» (La Légende du Colibri, 29.9.16, www.colibris-lemouvement.org/mouvement/legende-colibri). Ces propos me permettent bien d’illustrer l’énergie de travail qui anime notre équipe.

Qui je suis et d’où je viens

Je m’appelle Francesco. J’ai 30 ans.  J’ai commencé à travailler dans les métiers verts, plus particulièrement en tant qu’horticulteur. Je me suis ensuite formé en tant que paysagiste. Actuellement, je n’exerce plus ces professions. Mon parcours de vie m’a amené dans le domaine de la santé pour l’obtention d’un titre HES en soins infirmiers. Eh oui, je suis encore étudiant! Le Gros-de-Vaud, je le connais bien, car j’ai fait la plupart de mes écoles dans la région et vis depuis quatre ans à Echallens.